Une information aussi surprenante qu’incroyable secoue le Brésil : Neymar Jr., la superstar du football âgée de 33 ans, se serait vu léguer l’intégralité de la fortune d’un milliardaire brésilien décédé, un homme avec lequel il n’aurait, selon les rumeurs, jamais échangé un seul mot. Le montant de cet héritage colossal s’élèverait à 846 millions de livres sterling (soit plus d’un milliard d’euros), une somme vertigineuse qui dépasse l’entendement, même pour un joueur habitué aux contrats pharaoniques.
La nouvelle, initialement rapportée par le média brésilien RIC, précise que ce testament a été formalisé avec le plus grand sérieux. L’acte aurait été enregistré dans un bureau notarial de Porto Alegre et authentifié le 12 juin dernier, en présence de deux témoins qui confirmeraient la validité du document. Cette procédure légale stricte donne un certain crédit à une histoire qui pourrait autrement sembler tirée d’un scénario de film.
Pour que Neymar puisse effectivement recevoir cet argent, le testament doit maintenant obtenir l’aval de la justice brésilienne. Les tribunaux devront examiner le document pour s’assurer de sa validité et officialiser le nom de l’héritier. La raison pour laquelle ce milliardaire anonyme aurait choisi Neymar reste un mystère. La presse locale avance une hypothèse : l’homme, apparemment sans enfants et célibataire, aurait décidé de léguer sa fortune à l’icône nationale brésilienne, peut-être par admiration pour sa carrière ou pour s’assurer que son argent serve à perpétuer une certaine forme de legacy.
Malgré la validation notariale, la route vers la réception des fonds pourrait être semée d’embûches. Neymar lui-même ne s’est pas encore exprimé publiquement sur cette rumeure. Les experts juridiques soulignent qu’un testament d’une telle ampleur est souvent susceptible de déclencher des contestations, que ce soit de la part de membres éloignés de la famille qui pourraient contester la volonté du défunt, ou pour des questions fiscales complexes. L’affaire est donc loin d’être close et pourrait donner lieu à une longue bataille judiciaire avant qu’un éventuel virement n’ait lieu.
